“Les films de Carné corroborent la vision baudelairienne selon laquelle chagrin et mélancolie sont les composantes fondamentales de l’art.
Ils confirment que les sentiments de perte, d’exil et d’impuissance peuvent engendrer des oeuvres d’une beauté profonde.”
Edward Baron Turk – Marcel Carne Et L’age D’or Du Cinema Francais – 1929-1945 – L’Harmattan, 2002