1938 – Le Quai des Brumes

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LE QUAI DES BRUMES (1938)

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FICHE TECHNIQUE

Scénario : d’après le roman de Pierre Mac Orlan.
Adaptation et dialogues : Jacques Prévert.
Images : Eugen Schüfftan assisté de Louis Page, Marc Fossard, Henri Alekan, Philippe Agostini.
Assistants réalisateurs : Claude Walter et Guy Lefranc.
Son : Antoine Archim­baud.
Montage : René Le Hénaff.
Décors : Alexandre Trauner assisté de Paul Bertrand.
Costumes : Chanel.
Musique : Maurice Jaubert.
Directeur de production : Simon Schiffrin.
Régie : Ludmilla Goulian.

Interprètes : Jean Gabin (Jean), Michèle Morgan (Nelly), Michel Simon (Zabel), Pierre Brasseur (Lucien), Jenny Burnay (l’amie de Lucien), Marcel Pérès (le chauffeur du camion), René Génin (le docteur du bateau), Roger Legris (le garçon d’hôtel), Édouard Delmont (Panama), Aimos (Quart-Vittel), Robert Le Vigan (Michel Krauss), Claude Walter, Martial Rèbe, Marcel Melrac, Gaby Wagner, Raphaël, Raymond Pélissier et le chien Kiki.
Production : Gregor Rabinovitch (Ciné-Alliance).
Tournage : janvier-février 1938 – Studios de Joinville et pour les extérieurs, Le Havre.
Sortie : 18 mai 1938, au Marivaux (Paris).
Durée : 91 minutes.
Distinctions : Prix Louis-Delluc 1938, Grand Prix national du cinéma français 1939 ;
Prix Méliès, ex-aequo avec La Bête humaine, décerné par l’Académie du film ;
Lion d’Or à la VIe Mostra de Venise (1938) ;
meilleur film étranger pour 1939 aux États-Unis et à Cuba.
Note : Interdit aux moins de seize ans à sa sortie, le film l’est totalement sous l’Occupation par la censure française.

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SYNOPSIS

Un déserteur rencontre une jeune fille, dans un port où il tente de se cacher. Tout de suite, ils tombent amoureux l’un de l’autre. Malheureusement, de mauvais garçons vont croiser leur route et le destin va se montrer inexorable.

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REVUE DE PRESSE

LE MERLE BLANC, 21/5/1938
Quant le mot « fin » s’inscrit sur l’écran, après cette succession d’images qui portent en elles toute la poésie morbide des âmes désespérées, nous comprenons que Marcel Carné vient de nous donner un chef-d’oeuvre… Jacques Prévert mérite d’être associé au succès de Marcel Carné… Marcel Carné, victime depuis quelque temps d’assez laides et méprisables campagnes de presse, Marcel Carné qui a le grand tort de ne pas aller à la messe tous les dimanches, et de ne point fréquenter assidûment les chapelles orthodoxes, Marcel Carné homme et artiste libre, vient de faire à ses détracteurs la plus belle et la plus noble des réponses. Il leur jette un chef-d’œuvre à ronger ! Oseront-ils ?
LA FLÈCHE, 12/8/1938 (Henri Jeanson)
À la suite d’une conférence tenue par Jean Renoir à la Maison de la culture, Henri Jeanson constate l’existence d’un « vrai » et d’un « faux » Jean Renoir et il s’indigne : « Je veux absolument relever le jugement que le faux Renoir a porté sur le dernier film de Marcel Carné, Le Quai des Brumes. Pour le faux Renoir du parti communiste, Quai des Brumes est un film de propagande fasciste. Le faux Renoir du parti communiste… estime en effet — tout comme M. Vinneuil de L’Action française — qu’il faut en finir avec ces films sur la pègre. » « Quai des Brumes, a-t-il proclamé, est un film de propagande fasciste parce que les étrangers qui le verront auront le droit de penser qu’un pays qui produit des types de l’espèce de Gabin ou de Pierre Brasseur est un pays mûr pour la dictature… Ce raisonnement vaut son pesant de roubles… Le parti communiste tient, je ne sais pourquoi, Marcel Carné et Jacques Prévert pour de dangereux trotskistes. Donc, Quai des Brumes est un crime de haute trahison et il importe de discréditer et Carné et Prévert en employant les méthodes dégradantes du stalinisme intégral.»
L’INTRANSIGEANT, 1938 (Roger RÉGENT)
Ce sera l’un des grands films français de l’année. Dès les premières images, on s’aperçoit qu’il est écrit, réalisé et joué sur un ton que peu de films — de chez nous et d’ailleurs — atteignent. Les mots sont bien frappés, les images profondes, composées avec une rare puissance d’évocation et les interprètes marquent leurs per­sonnages d’une vérité inoubliable. […] Rarement le désespoir et la solitude des êtres avaient été traduits avec autant de force. M. Marcel Carné a su composer des images où la violence et la douceur se mêlent ; son film est chargé d’une poésie du malheur dont nous ne nous délivrerons pas de sitôt. Le brouillard nous environne, une humidité gluante nous pénètre : voilà l’œuvre d’un grand metteur en scène. Les dialogues de M. Jacques Prévert ont la couleur du sujet. Si l’on voulait absolument faire une réserve, on pourrait leur reprocher une certaine rhétorique, des accents littéraires qui sont sans doute moins à leur place ici que dans la bouche des personnages de Drôle de drame, du même auteur. Mais, en revanche, quelle éloquence ! Tous les acteurs ne méritent que des louanges […].
L’AVANT-GARDE, 28/5/1938
[…] en dépit de cette atmosphère de misère, morale, physique et physiologique, peut-être même à cause de cette atmosphère, trouble, floue, brumeuse, Le Quai des Brumes est un chef-d’œuvre.
LA LIBERTÉ, 31/5/1938 (Raoul d’Ast)
[…] une série de « touches » de faits divers séparés, destinés à illustrer sur fond de grisaille une thèse bien souvent exposée dans certaines littératures […] Cette thèse, c’est, ramenée aux moindres actes de la vie quotidienne, celle de la fatalité, l’Ananké antique déesse aveugle qui frappe, n’importe comment et n’importe où, des êtres dont on ne sait plus ce qu’ils sont. Ni bons ni mauvais, champ clos dans lequel des sentiments opposés se livrent un combat inégal, ils paient la rançon d’un destin qu’ils n’ont pas choisi […] L’atmosphère si puissamment réalisée a cette teinte de littérature à la Faulkner qui conclut à l’impuissance humaine sous les coups du sort […] Si nous jugeons Quai des Brumes à travers cette atmosphère littéraire et le dialogue — remarquable — de Jacques Prévert, peut-être serons-nous fondés à dire que le spectacle est déprimant, démoralisant même. Le dogme de la Fatalité n’est pas une excuse suffisante aux actes de ces hommes. Il y a, dans la vie, d’autres choses à dire, à montrer que ceux-là.
LE PETIT JOURNAL, 8/7/1938
Il est désolant de voir le plus officiel des prix cinématographiques français, le prix du ministère, attribué à un film, plein de qualités artistiques, certes, mais d’un genre très spécial. Un film noir, un film immoral et démoralisant, dont les effets auprès du public n’ont pu être que néfastes.
CINÉ-CLUB, décembre 1949 (Armand J. Cauliez)
Dans une succursale maritime du Lapin agile, des personnages expriment des complexes existentiels. Mais l’originalité et la plénitude de l’expression « cinématurgique » est telle que l’on oublie les scories, ébloui qu’on est par cette « musique de lumière », pathétique, désespérée… Un réalisme lourd baigne le film. Une fatalité englue les êtres, comme une brume. Ce quai des brumes est un carrefour du malheur où les routes du départ sont barrées. Des hommes de nulle part et de partout y échouent. Mais leurs tentatives de redressement sont vaines. Ce quai est comme un abcès de fixation. La mort se cache derrière la brume.
CINÉMA 62, février 1962 (Marcel Martin)
Dans l’histoire du cinéma français Quai des Brumes est un classique. L’anarchisme prévertien, le talent de Carné pour créer les atmosphères (le port du Havre, une fête foraine, une baraque sur la grève), font de ce film une œuvre poétique et amère et un coup de boutoir révolutionnaire contre les tabous moraux de la respectabilité et du « devoir ». La lumineuse et fragile Michèle Morgan fait une entrée inoubliable, le douloureux Gabin incarne un mythe qu’il symbolisera des années durant, l’inquiétant Michel Simon et le larvaire Pierre Brasseur représentent l’ignominie de la vie : tout cela donne au film une importance unique dans l’histoire du cinéma français d’avant guerre.
Histoire du Cinéma, t. II, Livre de poche 1964 (Maurice Bardéche et Robert Brasillach)
Quai des Brumes, sombre histoire de mauvais lieux, de mauvais coups, fait songer au Pépé le Moko de Duvivier, et aux plus solides traditions du cinéma de gangsters. Travail soigné, souvent saisissant et désespéré, comme le cinéma français de ce temps, il en reste une des illustrations les plus célèbres, encore qu’elle ne soit pas toujours originale, mais elle a pour elle la beauté des images, le don du ciel gris, le romantisme populaire et social et un goût d’amertume réelle dans un cadre parfois conventionnel. Pour quelques belles images, c’est un film qu’on a beaucoup aimé et que certains regardent comme une des œuvres les plus parfaites du cinéma d’avant guerre.
Marcel Carné, Éd. Seghers, Coll. « Cinéma d’aujourd’hui » 1965 (Robert Chazal)
Quai des Brumes a, à ce point, marqué le cinéma français que lorsque Godard sortit À bout de souffle, vingt et un ans après, on trouva des points communs entre Gabin le déserteur et Belmondo l’assassin fugitif, entre les deux films aussi. Il en sera de même pour L’Insoumis, où Delon sera comparé à Gabin. Et il en sera probablement encore de même chaque fois qu’apparaîtront à l’écran des personnages qui, à un moment ou à un autre, sont coupés de leurs racines et tentent d’échapper à leur passé en s’enfermant dans un amour hors de toute mesure ; en même temps que des décors où la grisaille, la pluie, les pavés luisants, les aubes lugubres rendent visibles la fatalité et la certitude de l’échec.
LES CAHIERS DE LA CINÉMATHÈQUE, hiver 1972 (Raymond Borde)
On ne peut plus « sentir » Quai des Brumes comme nous l’avons senti à l’époque. Même avec un énorme effort d’imagination, on ne revit pas le « frisson nouveau » qu’apportaient les ciels bas à la Vlaminck, les pavés gras du Havre et l’amour fou d’un déserteur. Le metteur en scène a cherché d’autres voies. II s’est tourné vers le Moyen Âge (Les Visiteurs du soir), le théâtre romantique (Les Enfants du paradis), la légende philosophique (Juliette ou la Clef des songes), les mariages bre­tons (La Marie du port), l’après-guerre, les trafics, les collabos (Les Portes de la nuit). Cet effort de renouvellement a quelque chose de pathétique : les décors changent, les équipes se modifient, mais l’inspiration reste prisonnière d’un thème affectif qui a cessé d’être exaltant : l’âpre joie des amours malheureuses.
Dictionnaire des films, Éd. du Seuil 1975 (Georges Sadoul)
Le film se trouva si bien exprimer (inconsciemment) l’inquiétude des Français devant la fatale venue d’une guerre terrible qu’en 1940 divers porte-parole de Vichy proclamèrent : « Si nous avons perdu la guerre, c’est par la faute au Quai des Brumes ». À quoi Carné répliqua en substance que l’on n’accuse pas de l’orage un baromètre, et que la plus haute mission d’un cinéaste est d’être le baromètre de son temps. Ce fut parce que ce film était un « signe des temps » qu’il fut admiré dans le monde entier, et tant imité que son thème finit par se banaliser.
LE NOUVEL OBSERVATEUR, 22 novembre 1976 (Maurice Clavel)
Quai des Brumes reste un beau film. La brume est pour toujours dans les yeux de Gabin. Son képi, le ciré et le béret de Morgan sont aussi légendaires qu’à leur naissance. Qu’y a-t-il pourtant de révolu qui redouble la nostalgie ? L’amour. Je m’explique. C’était l’époque, la dernière époque peut-être où amour rimait implicitement avec toujours, où faire l’amour impliquait le don de son être et non le prébail de sa peau. L’amour se délivrait alors des conventions au profit, et non pas encore au détriment, de sa signification. C’était l’instant historique de l’amour libre : avant, manquait la liberté ; après l’amour. Nous avons perdu ce ressort-là, au profit des ressorts du sommier…
Le Ciné-monde, Grasset éd., 1977 (Suzanne Chantal)
Un film atrocement désespéré, Quai des chiens perdus, des clochards et des assassins… On n’y trouve que des épaves. Chacun a son cauchemar, son obsession ou sa douce manie. On ne peut imaginer film plus noir, plus atrocement désespéré. À peine un pâle soleil à travers un rideau de guipure, un sourire, près d’un carrousel de petits lapins blancs. Mais il y a cet amour de la fille perdue et du soldat fuyard et, surtout, la langue étrange et familière de Jacques Prévert, qui dit les choses essentielles avec les mots les plus sim­ples. Ayant choisi l’inquiétude, l’écœurement, la misère, Carné et son équipe le font passionnément, courageusement, et l’on sent leur cœur battre sous chaque image.

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STORY (english)

In Jean Queval. Marcel Carné. New index series n°2 – BFI. November 1950.

Jean, a soldier in a French colonial regiment, has deserted. ln Le Havre he meets a drunkard with the nickname of Quart Vittal, who takes him to a strange place, half hut, half inn, near the end of the harbour. The landlord is called Panama. Also, there are Nelly, a girl who has run away from her guardian, of whom she is afraid, and a painter, Michael Krauss. Pursued by three gangsters, who shoot at him outside the hut, another man, Zabel, takes refuge there ; he owns a small stationery shop in Le Havre. At dawn, Nelly and Jean go out together. They meet the three gangsters on the quayside. One of them, Lucien, insults Nelly, and Jean beats him up.
Jean and Nelly part after they have decided to meet again in the evening at the fair. By chance, Jean goes into Zabel’s shop. Zabel is none other titan Nelly’s guardian, engaged in various shady activities. Back at the hut, Jean is offered a suit and passport by Panama ; they belonged to the painter, who will need them no more. A doctor who paints water-colours as a hobby is leaving on a ship for Brazil and is willing to take Jean with him, to help a fellow-artist, and although he does not want to leave Nelly behind, Jean accepts. The couple meet at the fair, where they also encounter Lucien. Nelly tells Jean that Maurice, one of Lucien’s gang, was once her lover ; but now she loves Jean, and is in love for the first time. They spend the night together in an hotel. The next morning they read in the paper that Maurice has been killed and that a military uniform has been found near his corpse. Jean is suspected of murder. Nelly realises that he must go away ; she returns to her guardian, and discovers that he is the murderer of Maurice. He makes a declaration of love to her, interrupted by Jean. The two men fight, and Zabel is killed. Outside, Lucien shoots Jean dead from a car. In the harbour, the ship is leaving. . . .

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COMMENTS (english)

In Jean Queval. Marcel Carné. New index series n°2 – BFI. November 1950.

Unity of action, space and time contrives to give this film a classical finish, found for the first time in Carné’s work. The images have as much narrative weight as the dialogue, the editing reveals a close, effective relationship (not at first perceptible) between words and images. The atmosphere is strangely unreal and fascinating, and the personalities of Jean Gabin and Michèle Morgan convey a kind of supplementary fascination to their actual portrayals of a deserter and a young girl lost and trapped in the world around them. Poetic realism succeeds in outweighing a plot which is a long way from the original novel and combines popular and literary clichés to at times an almost unbearable degree. Some secondary parts, indeed, never quite recover from them.

But in this animated fresco in black and grey, the power of visual suggestion wins the day. Prévert had the right idea of transposing the story from Montmartre to Le Havre — or, rather, to some undecided and conventionally « black » French harbour — and contrived sober, allusive, if somewhat literary, dialogue for it ; without in any way diminishing the value of his excellent script, it might metaphorically be said that the inner story of the film is of Carné’s unconscious victory over himself.

As for the subject, Quai des Brumes is the film in which the Carné-Prévert team, for the first time, has decided to divide the world at large into good and bad men and women. Their « black » outlook is here identical to that of fairy tales. Fate, of course, is still there, and pessimism ; the good deserter is killed by one of the evil characters after he has got rid of another evil character. He does not reach the ship, the symbol of an unknown and impossible Elsewhere. Carné himself answered to someone who asked him during the war which of his films he preferred : « If I must give a title, then Quai des Brumes is a work which at a particular period gave me satisfaction. » It may be assumed that he had this film in mind, too, when he wrote in 1939 : « Before shooting a film I prepare my palette. Then i see to it that everything is done in the same shade, always bearing in mind the main idea of the work. » He added : « One must compose images as the old masters did their canvases, with the came pre­occupation with effect and expression. Cinema images have the same needs. They must, therefore, be perfectly clear and legible. »

« The story is questionable. Or, rather, its setting and pretext is questionable. It takes place in Havre, but any port would have served as well. It evokes those quaysides opening on ` adventure ‘ and ` evasion,’ and all the characters, uncertain, threatening and threatened, that roam its front. The subject is already old […] The photography is admirable, the settings really perfect. The narrative is firmly held, with coherence and ciarity. The story, in spite of its various episodes, is simple and direct. Each character has his secret, but one is made to feel what this secret is and what it means ; one understands and is attracted to there heroes. » (Pierre Bost, Les Annales, June 10, 1938.)
« With this film Marcel Carné is established as one of the cinema’s leading directors. »  (Claude Briac, Ce Soir.)

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AFFICHES

 

 

 

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 La collection Nicolas Ruet

Nous remercions chaleureusement Nicolas Ruet de nous avoir permis de reproduire une partie de sa collection.

Ce lot de 4 affiches de cinéma originales italiennes (Photobusta) est bien évidemment très rare.

Format : 55×70 cm. 

 

 

 

 

Nicolas Ruet possède également les affiches suivantes :

Une affiche allemande du film Le Quai des brumes / Hafen im Nebel (60×84 cm).

Une affiche italienne en 1959 – format 140 x 220 cm

Une affiche belge des années 60 – format 54 x 35 cm

 

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Photographies rares de la collection Michel Giniès

Les photographies suivantes proviennent de la collection personnelle du photographe et collectionneur Michel Giniès.

Avec son aimable autorisation et nos sincères remerciements.

Rappelons que le photographe de plateau était Roger Kahan.

Tous droits réservés (c)

Jean Gabin

Michèle Morgan

Aimos et Jean Gabin

Michel Simon et Jean Gabin

Jean Gabin et Michel Simon

Le Havre, le quai

La fête foraine (avec Jean Gabin et Michèle Morgan)

La cabane de Panama

La même de jour.

Rare photo de Gabin et Morgan sur les docks du Havre.

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LIENS

1 – La page consacrée au film sur le site incontournable DVDTOILE.
2 – La fiche DVD sur le site DVDFR.COM.
3 – L’excellente chronique du film + DVD sur le site DVDCLASSIK.
4 – La chronique du DVD édition Critérion sur le site de Une Porte.
5 – La chronique du DVD sur le site de EXCESSIF/DVDRAMA.
6 – La chronique du DVD sur le blog Mon festival du cinéma.
7 – La chronique en anglais du film sur le site de FILMCRITIC (english review).
8 – La chronique en anglais du DVD sur le site incontournable DVDBEAVER (english review).
9 – La chronique du film sur le blog de Steven Carlson (english review).
10 – La page consacrée au DVD sur le site de CRITERION (english review).
11 – Une chronique du DVD édition Critérion par Glenn Erickson sur le site de DVDTALK (english review).
12 – La chronique du DVD édition Critérion par Bill Gibron sur le site de DVDTALK (english review).
13- La chronique du film sur le site Le Quotidien du Cinéma par Pierre Delarra.

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BANDE-ANNONCE (Dailymotion)

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Georges Franju, Michèle Morgan et Marcel Carné à propos du film Le Quai des Brumes (documentaire anglais).

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Témoignage audio de Marcel Carné et Michèle Morgan sur le tournage du « Quai des Brumes » (via le site de l’INA).

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Michèle Morgan et le baiser de « Quai des brumes », en 1956, via le site de l’INA.

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L’équipe du film Le Quai des Brumes :

Debout : Alexandre Trauner, Jacques Prévert, Marcel Carné, X, Eugene Schüfftan, Simon Schiffrin
Assis : Jean Gabin et Michèle Morgan

(Collection Carné-Lesaffre)

 

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